Pourquoi peindre ?
Il est des choses à vérifier. Voir si l'on est dans la justesse des choses.
Faire une peinture, c'est créer un instantané de soi, à un instant "t".
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Et ne pas se raconter d'histoire.
Marie Laurencin - Coco Chanel 1923
Séduction, beauté, esthétique, canons 19ème, regard de l'autre : lourd bagage.
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La barrière - Martello 2004 Huile
C'est mon propre regard qui doit grandir et mûrir pour un chemin s'étayant des richesses du monde et de la vie.
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"Je ne cherche pas, je trouve".
http://www.picasso.fr
Dans le faire s'installe la représentation d'une narration continue et protéiforme que chaque intervention modifie, dévie, transmute.
Alors la peinture est l'incomparable médium de cette alchimie.
Ses ingrédients, limités par notre savoir et notre propre imagination.
Sound"Egmont"Léo Ferré-"Egmont"op84 L.V.Beethoven//***ici commence le cadre #000fff***</*Ami-mots
(à tester sur d'autres écrans, mais on s'en fout un peu aussi
Chagall. Sa poésie d'images fragmentaires
Yves Klein, Mark Rothko. L'espace et son vide
Rothko. Entre vide et matière
Surréalisme, ma porte d'entrée dans le sens de la peinture.
Illia Prigogine : la part du chaos dans ce qui nous arrive.
Mandelbrot XXème siècle.
L'alèatoire dans la peinture
Sound"The Piano Concerto" or "MGV" - Michael Nymann
Martello 2001 - A crylique 45x110
La répétition dans l'unique
René Char : l'alliance des contraires
L'art conceptuel, l'idée suffit à l'oeuvre
Klein
le Futurisme
le Cubisme, vision contrapuntique
Giacommetti
Lucian Freud
Andy Warhol
NAM JUNE PAIK
Nicolas de Stael
Bazaine
Kandinsky
Jean Cocteau
John Cage
Robert Filliou
Comment je m'arrange des influences.
L'art conceptuel, l'idée suffit à l'oeuvre. Donc mes idées de la peinture la rendent légitime.
Kandinsky. Choc ésthétique lié à la double vision, une musicale accordée a la couleur et aux formes.
Malevitch, carré blanc sur fond blanc. De près, le geste toujours visible.
Toroni. La réduction du geste à son minimum. Grisaille de la répétition . Monde froid. Création d'une peau.
Raynaud
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> contrapuntique
[musique] Qui a rapport au contrepoint.
> contrepoint
Art de composer de la musique à plusieurs parties, en superposant les dessins mélodiques.• Musique composée selon ces règles.• Motif qui se superpose à un autre en ayant une réalité propre.
"Aide à voir" Martello 2004 - Acrylique 60x87
La figuration, comme un ordre au sens :
s'abstraire de la figuration.
?
Pas tout à fait :
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Alberola
Karel Appel
Art brut
Arte povera
"Capteur" Martello 1997 - Acrylique 65x50
Tinguely
Alejandro
Peter Klassen
Bacon
Boltansky
Le Gac
Cesar
Sandro Chia
Enzo Cucchi
David Salle
Christo
Fortunato Depero
Sonia Delaunay
Fontana
Foujita
2"Tête" Martello 2001-1997 - Acrylique 30x42
Soutine
Garouste
Gasiorowski
Expression de l'intériorité
Donald Judd
Asger Jorn
Kirkeby
Frize
Matta
Dubuffet
Antonin Artaud
Jeff Koons
Bertrand Lavier
Léger
Legros Jean
Sol LeWitt vers le réel
Photo Castres - Martello 2004
Georges Rousse
Markus Lupertz
Plaquette - Martello 2002 Divers, acrylique 12x16
Bazelitz
Kiefer
Mario Mertz
Archimboldo
Georges Mathieu
Tachisme
Matta
Gerhard Merz
Bernard Pages
Panamarenko
Plaquette Bois - Martello 2002 acrylique 10x15
Van Goght
Redon
Ed Paschke
Ar R Penk
Penone
Sigmar Polke
Basquiat
Gerhard Richter
.....
Photo peinte - Martello 2004 photo, acrylique 10x15.
"Je fuis toute fixation. Je ne sais pas ce que je veux. Je suis inconséquent, indifférent, passif ; j'aime l'indéfinissable et l'illimité, et l'incertitude continuelle" - mais elle signale surtout une démarche affirmant obstinément, en réplique aux travaux conceptuels et à toute idéologie de la "mort de l'art", l'endurance de la peinture entendue comme technique permettant de décomposer l'image, quelle que soit son apparence.©Hachette G.D. Propos sur G.Richter
Robert Rauchenberg
Georges Rousse
Refaire une liste de mémoire
Egon schiele
Niki de St-Phalle
Marinetti, je continue les machines avec lui. Tinguely. Sant'Elia.
Sarkis
La progression de la peinture, de l'objet à la couleur, de la matière à la toile
Représentation d'un projet
Baisser à mort le niveau couleur des textes d'acceuil !//a<//font< #000ffffhttp://martello.net// vous pouvez transformer ce code//merci de me#ffffff contacter pour toute info 
Ce sont les peintures à mettre en avant, c'est uniquement ceci qui parle (ne parle pas) pour ne pas parler
pour un silence, pas vraiment absolu, pas vraiment présent, juste une atmosphère, où ce qui s'y passe est serein et inquiétant,
refuge ouvert, cage d'or aux vitres rompues, une &################@AUTO@ ##############@Mobile@ ##############un rien esthétique dans la répétition#############@@comme un vieux langage presque oublié. Un jeu d'ouvertures de fenêtres d'ordinateur, comme un jeu pesant, mais un jeu d'action dénoué de sens Dès noués. Des noix. Des noix séches et solides. @Un contentement spiralé@@@@@@@@ d'aller au bout du@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@temps.@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@pour@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@enfin@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@de code@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@temps.@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@perdu!@
Entré site http://martello.free.fr version 2 - 2004
C'est un bloc vertical où se gère le passage des informations, coincé au début à gauche de la feuille volante virtuelle
L'impossibilité d'appréhender la totalité du système dans lequel on vit crée l'inquiêtude. Un tel mouvement halucine d'espoir, de lumiere irrélle dans notre tissu nerveux. Un oeil de mouche butineuse aux ailes multicolores et irisées
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Férocité du monde où l'on vit. Difficile de faire sans. Pourtant, ce serait bien sans sang.
Repartir de cette utopie "Je te salue"
Adieu?
Regagner le terrain que l'on croyait perdu.
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S'y perdre à nouveau. Douce incertitude au bord du tragique. Vert.
Le vert est une couleur tragique,nouveau code://d'où_venons-nous?><a><a>br;br;)
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Me parler à moi-même dans ce face-à-face à la machine, simplement pour comprendre, un défi sans fin, un furet qui se faufile, aveugle de lui-même et solitaire.
Castres - Martello 2004 Acrylique 60x80
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Avec une palette restreinte (noir, brun et blanc), mais en variant les formats de ses compositions comme autant d'angles d'attaque, il massacre allègrement toute figure, ou plutôt n'élabore celle-ci que pour la détruire et n'en conserver que les ruines. Un tel emportement, qui simplifie les formes et peut les enfouir sous des schémas géométriques, se refuse au geste purement abstrait : dans certaines séries, c'est en prenant appui sur des photographies que le peintre mène son travail de contestation - ce réancrage dans le visuel lui permettant de repousser toute tentation du décoratif ou de la rhétorique pour exprimer sa colère dans sa radicalité. ©Hachette// ou sa vie.
@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@Retour@@@@des couches visuelles@.@
Tout a une fin. A chaque jour suffit sa peine. Demain est un autre jour.
Eric Martello Peintre, Eric Martello Peintre, Eric Martello Peintre, Eric Martello
Castres - Martello 2004 Acrylique 51x77
Eric Martello Peintre, Eric Martello Peintre, Eric Martello Peintre, Eric Martello Peintre, Eric Martello Peintre, Eric Martello Peintre, Eric Martello Peintre, Eric Martello Peintre, Eric Martello Peintre, Eric Martello Peintre, Eric Martello Peintre, Eric Martello Peintre, Eric Martello Peintre, Eric Martello Peintre,
Castres - Martello 2004 Acrylique 65x92
Eric Martello Peintre, Eric Martello Peintre, Eric Martello Peintre, Eric Martello Peintre, Eric Martello Peintre, Eric Martello Peintre, Eric Martello
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Castres - Martello 2004 Acrylique 115x100
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